Séminaire organisé par le CRED (Centre de recherche en économie et droit), le CERSA (Centre d'études et de recherches en sciences administratives et politiques) de Panthéon-Assas université et l'ENC-Team (Environment: Concepts and Norms) de l'Institut Jean-Nicod (ENS).
La prochaine séance se tiendra jeudi 24 mars 2022 et aura pour thème : The Kessler Syndrome: Risks, Consequences and Solutions
Intervention : Brendan CUNNINGHAM, Eastern Connecticut State University
La séance se déroulera en anglais.
Utilization of most resources involves the creation of pollution, and orbital space is no exception. Since the launch of Sputnik in 1957, governments and commercial interests have left an ever-increasing volume of debris that encircles Earth. Don Kessler was one of the earliest to point out that debris is potentially self-propagating : collisions in space create more debris which, in turn, create still more debris and collisions. Should collisional cascades accelerate uncontrollably, orbital space will be lost as a resource. In this presentation, we will explore the causes and consequences of the Kessler syndrome. We will also discuss solutions to the problem of orbital debris.
Brendan Cunningham is a professor of economics at Eastern Connecticut State University. He specializes in economic research pertaining to space, media and satellites. He is a leading expert on the pressing issue of space debris. His work has been supported by Eastern and the National Aeronautics and Space Administration (NASA).
The topics addressed in this presentation appear just after the announcement that the International Space Station will be sunk in the Point Nemo in 2031.
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Le séminaire Law & Economics of Nature a pour vocation de prendre acte des transformations théoriques qui, dans un contexte d’inquiétude environnementale, affectent les disciplines économiques et juridiques. Les normes juridiques qui prévalent aux régimes d’appropriation ou de gouvernance des ressources naturelles ont d’évidentes conséquences welfaristes (humaines et écologiques). Les réflexions actuelles sur le ou les communs ou encore sur la personnalisation juridique d’entités naturelles peuvent également être appréciées à cette aune. L’économie de l’environnement s’interroge de longue date sur la possibilité de fixer la valeur d’entités naturelles non marchandes. Elle oscille entre la considération des ressources environnementales comme « capital naturel » sujet à optimisation et une défense de la valeur intrinsèque de la nature non commensurable à d’autres actifs.